MEMORIAL A F N DE PERONNE

Le département de la Somme faisait partie des derniers départements ne possédant pas de mémorial en l'honneur de tous les appelés , les rappelés de la classe 56 , les engagés , les militaires de carrière et les gendarmes de la Somme tombés au champ d'honneur en AFN .

Et c'est sous l'impulsion de l'UDAC ( Union Départementale des Associations de Combattants et Victimes de Guerre de la Somme , regroupant 20 associations ) que le projet sera concrétisé et plus précisemment sous la responsabilité du président André Dechoz et du Vice -président coordinateur Maurice Grosjean .

Erigé en centre ville de Péronne , ce mémorial comprend trois niveaux , le troisiéme niveau reçoit les six stéles comportant les gravures des 232 noms des morts en AFN.

Au centre , deux fléches de quatre métres supportent une carte de la Somme.

Ce mémorial a été inauguré le 13 novembre 2011.

 

LE MEMORIAL FRANCO-BRITANNIQUE DE THIEPVAL

De part sa position géographique, Thiepval a été le théâtre de la bataille de la Somme de 1916 : les Allemands, des hauteurs du village, dominent l’armée Française restée en contre-bas, dans la vallée sur les bords de la rivière Ancre.

Très rapidement la guerre de mouvement se transforme en guerre de position, le front est stabilisé et les armées commencent à s’enterrer passant des jours et des nuits à creuser des tranchées.

 

Les allemands vont ainsi utiliser toute cette période à construire une ligne de défense impressionnante et sophistiquée qui formait une ligne de fortification autour du village et à l’intérieur de cette dernière : dédale de tranchées, boyaux. À la fin de l’année 1915, lors de la conférence de Chantilly, l’état major franco-britannique décide d’une offensive dans la Somme.

C’est l’attaque surprise allemande sur Verdun le 21 Février 1916 qui précipite les événements de la Somme. Les français délaissent une partie du front de la Somme aux britanniques qui en occupent seuls 30 kms. Verdun étant quant à lui défendu par l’armée française.

Plus les pertes françaises sur Verdun augmentaient, plus on pressait Haig de lancer l’offensive sur la Somme qui fut fixée au 29 Juin. Mais celle-ci fut repoussée au 1er Juillet en raison de conditions météorologiques défavorables.

La préparation de l’offensive débute par un tir d’artillerie continuel nuits et jours pendant 6 jours, destiné à détruire au maximum les lignes de défenses allemandes.

Le 1er juillet 1916, à 7h20, l’offensive est lancée, 100 000 soldats Britanniques inexpérimentés (les bataillons de Pals - copains), chargés de 30 kg de paquetage, partent à l’assaut, très vite fauchés par les mitrailleuses allemandes. Au soir du 1er juillet, 60 000 britanniques sont hors de combat, 20 000 d’entre eux sont tués, 40 000 sont blessés ou faits prisonniers. Les pertes allemandes représentent environ 1/10ème de ce chiffre. Le premier jour de la bataille de la Somme est un échec, un désastre pour l’armée britannique qui qualifiera ce jour du 1er Juillet 1916, le jour le plus sanglant de son histoire militaire, “the bloodiest day of the British army”.

 

Thiepval est finalement libéré le 27 Septembre 1916 par les britanniques et la bataille de la Somme se termine à le 18novembre de cette même année. La percée n’a pu être réalisée mais la bataille de la Somme a permis aux Français de tenir à Verdun. L’armée allemande qui a dû livrer bataille en même temps à Verdun et dans la Somme est très affectée et totalement exténuée.

La bataille de la Somme a certainement fait chez les britanniques 420 000 pertes (morts, blessés, disparus ou faits prisonniers). Thiepval est repris par les Allemands lors de leur grande offensive de mars 1918 pour être définitivement repris en août 1918, toujours par les Britanniques.

De part sa position géographique, Thiepval a été le théâtre de la bataille de la Somme de 1916 : les Allemands, des hauteurs du village, dominent l’armée Française restée en contre-bas, dans la vallée sur les bords de la rivière Ancre.

Très rapidement la guerre de mouvement se transforme en guerre de position, le front est stabilisé et les armées commencent à s’enterrer passant des jours et des nuits à creuser des tranchées.

 

Les allemands vont ainsi utiliser toute cette période à construire une ligne de défense impressionnante et sophistiquée qui formait une ligne de fortification autour du village et à l’intérieur de cette dernière : dédale de tranchées, boyaux. À la fin de l’année 1915, lors de la conférence de Chantilly, l’état major franco-britannique décide d’une offensive dans la Somme.

C’est l’attaque surprise allemande sur Verdun le 21 Février 1916 qui précipite les événements de la Somme. Les français délaissent une partie du front de la Somme aux britanniques qui en occupent seuls 30 kms. Verdun étant quant à lui défendu par l’armée française.

Plus les pertes françaises sur Verdun augmentaient, plus on pressait Haig de lancer l’offensive sur la Somme qui fut fixée au 29 Juin. Mais celle-ci fut repoussée au 1er Juillet en raison de conditions météorologiques défavorables.

La préparation de l’offensive débute par un tir d’artillerie continuel nuits et jours pendant 6 jours, destiné à détruire au maximum les lignes de défenses allemandes.

Le 1er juillet 1916, à 7h20, l’offensive est lancée, 100 000 soldats Britanniques inexpérimentés (les bataillons de Pals - copains), chargés de 30 kg de paquetage, partent à l’assaut, très vite fauchés par les mitrailleuses allemandes. Au soir du 1er juillet, 60 000 britanniques sont hors de combat, 20 000 d’entre eux sont tués, 40 000 sont blessés ou faits prisonniers. Les pertes allemandes représentent environ 1/10ème de ce chiffre. Le premier jour de la bataille de la Somme est un échec, un désastre pour l’armée britannique qui qualifiera ce jour du 1er Juillet 1916, le jour le plus sanglant de son histoire militaire, “the bloodiest day of the British army”.

 

Thiepval est finalement libéré le 27 Septembre 1916 par les britanniques et la bataille de la Somme se termine à le 18novembre de cette même année. La percée n’a pu être réalisée mais la bataille de la Somme a permis aux Français de tenir à Verdun. L’armée allemande qui a dû livrer bataille en même temps à Verdun et dans la Somme est très affectée et totalement exténuée.

La bataille de la Somme a certainement fait chez les britanniques 420 000 pertes (morts, blessés, disparus ou faits prisonniers). Thiepval est repris par les Allemands lors de leur grande offensive de mars 1918 pour être définitivement repris en août 1918, toujours par les Britanniques.

De part sa position géographique, Thiepval a été le théâtre de la bataille de la Somme de 1916 : les Allemands, des hauteurs du village, dominent l’armée Française restée en contre-bas, dans la vallée sur les bords de la rivière Ancre.
Très rapidement la guerre de mouvement se transforme en guerre de position, le front est stabilisé et les armées commencent à s’enterrer passant des jours et des nuits à creuser des tranchées. - See more at: http://www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/thiepval-m%C3%A9morial-franco-britannique-et-centre-interpr%C3%A9tation#sthash.Qmwc2ONW.dpuf

De part sa position géographique, Thiepval a été le théâtre de la bataille de la Somme de 1916 : les Allemands, des hauteurs du village, dominent l’armée Française restée en contre-bas, dans la vallée sur les bords de la rivière Ancre.

Très rapidement la guerre de mouvement se transforme en guerre de position, le front est stabilisé et les armées commencent à s’enterrer passant des jours et des nuits à creuser des tranchées.

 

Les allemands vont ainsi utiliser toute cette période à construire une ligne de défense impressionnante et sophistiquée qui formait une ligne de fortification autour du village et à l’intérieur de cette dernière : dédale de tranchées, boyaux. À la fin de l’année 1915, lors de la conférence de Chantilly, l’état major franco-britannique décide d’une offensive dans la Somme.

C’est l’attaque surprise allemande sur Verdun le 21 Février 1916 qui précipite les événements de la Somme. Les français délaissent une partie du front de la Somme aux britanniques qui en occupent seuls 30 kms. Verdun étant quant à lui défendu par l’armée française.

Plus les pertes françaises sur Verdun augmentaient, plus on pressait Haig de lancer l’offensive sur la Somme qui fut fixée au 29 Juin. Mais celle-ci fut repoussée au 1er Juillet en raison de conditions météorologiques défavorables.

La préparation de l’offensive débute par un tir d’artillerie continuel nuits et jours pendant 6 jours, destiné à détruire au maximum les lignes de défenses allemandes.

Le 1er juillet 1916, à 7h20, l’offensive est lancée, 100 000 soldats Britanniques inexpérimentés (les bataillons de Pals - copains), chargés de 30 kg de paquetage, partent à l’assaut, très vite fauchés par les mitrailleuses allemandes. Au soir du 1er juillet, 60 000 britanniques sont hors de combat, 20 000 d’entre eux sont tués, 40 000 sont blessés ou faits prisonniers. Les pertes allemandes représentent environ 1/10ème de ce chiffre. Le premier jour de la bataille de la Somme est un échec, un désastre pour l’armée britannique qui qualifiera ce jour du 1er Juillet 1916, le jour le plus sanglant de son histoire militaire, “the bloodiest day of the British army”.

 

Thiepval est finalement libéré le 27 Septembre 1916 par les britanniques et la bataille de la Somme se termine à le 18novembre de cette même année. La percée n’a pu être réalisée mais la bataille de la Somme a permis aux Français de tenir à Verdun. L’armée allemande qui a dû livrer bataille en même temps à Verdun et dans la Somme est très affectée et totalement exténuée.

La bataille de la Somme a certainement fait chez les britanniques 420 000 pertes (morts, blessés, disparus ou faits prisonniers). Thiepval est repris par les Allemands lors de leur grande offensive de mars 1918 pour être définitivement repris en août 1918, toujours par les Britanniques. - See more at: http://www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/thiepval-m%C3%A9morial-franco-britannique-et-centre-interpr%C3%A9tation#sthash.WAtmBLGb.dpuf

LA TOUR D'ULSTER A THIEPVAL

LA TOUR D'ULSTER

La Tour d'Ulster a été érigée en 1921. Elle est la réplique exacte d'une tour située près de Belfast dans le camp d'entraînement de la 36e division. Le 1er juillet 1916, cette division, fut prise entre les tirs allemands et ceux de l’artillerie britannique. Monument irlandais pour la Bataille de la Somme, la Tour d'Ulster est aussi le mémorial à tous les soldats de l'Ulster morts pendant la Grande Guerre.

Dans le parc, une plaque fut apposée par le "Royal Irish Rangers" à la mémoire des soldats de la 36ème division (Irlande) et des 9 décorés de la Victoria Cross.

LE TROU DE MINE DE LA BOISELLE

Lochnagar Crater

 

A La Boisselle, cet impressionnant trou de mine est un vestige de la série d'explosions qui se déroula le 1er juillet 1916, déclenchement de la Bataille de la Somme par les Britanniques.

 

Un trou de 100 mètres de diamètre et de 30 mètre de profondeur , c' est tout ce  qu'il en reste ,  un vestige de la série d'explosions qui se déroula le 1er juillet 1916. Ici elle eut lieu à 7h28 marquant ainsi le déclenchement de la Bataille de la Somme par les Britanniques.

La première ligne britannique franchissait perpendiculairement la grande route, à hauteur de l'actuel monument aux brigades Tyneside Irish et Tyneside Scottish. C'est en effet là que les hommes de ces unités bondirent de leurs positions de départ le 1er juillet 1916 à 7h30. Ils ignoraient qu'ils se dirigeaient vers une mort imminente. Français et Allemands avaient commencé à creuser leurs tranchées en octobre 1914 et s'étaient livrés dès l'hiver à une longue guerre de mines; le sol boursouflé de la pâture située au bord de la route de Contalmaison évoque cette phase si particulière du conflit.

MEMORIAL TERRE-NEUVIEN DE BEAUMONT-HAMEL

Mémorial Terre-Neuvien

 

A Beaumont-Hamel, le Mémorial Terre-Neuvien commémore l'engagement du régiment Terre-Neuvien. Il donne une vision émouvante et réaliste du réseau des tranchées.

 

Cette commune regroupe les villages de Beaumont, Gare-de-Beaucourt et Hamel. Ces villages étaient situés à l'arrière immédiat des lignes allemandes. Terre-Neuve était à l'époque de la guerre, une colonie britannique et à ce titre, comme tous les autres pays de l'Empire avait levé une armée de volontaires.

 

Le 1er juillet 1916, à 9h, les hommes du régiment terre-neuvien, à peine sortis de leurs tranchées, se trouvèrent pris sous le feu de mitrailleuses allemandes. Une demi-heure plus tard, ils n'étaient plus que 68 valides. Tous les officiers avaient été tués ou blessés. Proportionnellement aux effectifs engagés, cette action fut l'une des plus meurtrières de l'offensive de la Somme.

 

A Beaumont-Hamel, le mémorial terre-neuvien donne une vision émouvante et réaliste des batailles grâce à un réseau de tranchées admirablement bien conservé.

A l'entrée, le monument à la 29e division à laquelle appartenait le régiment Terre-Neuvien. Un chemin conduit à la table d'orientation, au sommet de la butte du Caribou, appelée ainsi car elle est couronnée d'une statue de caribou en bronze, insigne du Royal Newfoundland Regiment , pointant en direction de l'ennemi, d'où une vue d'ensemble sur tout le champ de bataille permet la compréhension de l'assemblage des tranchées.

 

Trois plaques de bronze scellées à la base de la butte font office de mémorial national aux disparus où figurent les noms de 820 membres du Royal Newfoundland Régiment .

 

Un seul arbre a échappé à la dévastation du lieu : c'est le squelette de "l'arbre du danger", ainsi nommé parce que situé à un point d'observation particulièrement exposé. La 1ère ligne allemande passait au fond du parc, près de la statue de l'Ecossais en kilt de la 51ème division des Highlands qui s'empara de la position ennemie le 13 novembre 1916.

MEMORIAL AUSTRALIEN DE VILLERS BRETONNEUX

Mémorial National Australien

 

A Villers-Bretonneux, l'imposant mémorial National Australien fut inauguré en 1938. Chaque année s'y déroule la célébration de l'ANZAC Day et du Dawn service.

 

Si Villers-Bretonneux a connu les combats d'août 1914 et les incessants mouvements de troupes françaises et britanniques durant les quatre années qui suivirent, le nom de ce gros bourg est entré dans l'histoire de la guerre le 24 avril 1918 lorsque les troupes australiennes arrêtèrent définitivement l'offensive allemande de mars.

 

En effet ,lors de l'année 1914, l’Australie, comme tous les autres dominion ( pays membre du Commonwealth ) de l’empire britannique, se rangea au côté de la “mother country”.

Avec la Nouvelle-Zélande, cette force constitue l'Australian and New Zealand Army Corps (ANZAC) et mène sa 1ère offensive le 25 avril 1915 à Gallipoli en Turquie (détroit des Dardanelles).

Sa première intervention dans la Somme aura lieu le 23 juillet 1916 à Pozières puis en avril 1918 à Villers-Bretonneux. Son intervention a été capitale car le corps expéditionnaire australien arrête la forte poussée allemande à Villers-Bretonneux les 24, 25 et 26 avril, évitant ainsi la prise d’Amiens et la ruée allemande vers l’Oise et Paris.

 

 

ANZAC DAY

Moment d’intense émotion chaque 25 avril, lors du Dawn Service de l’Anzac Day célébré avant le lever du jour, à 5h30, au Mémorial national australien de Villers-Bretonneux. Cette cérémonie rend hommage aux soldats qui se sont illustrés lors des batailles de Picardie en 1918.

MEMORIAL SUD-AFRICAIN DE LONGUEVAL

Le Bois Delville occupe une place particulière dans l’histoire militaire sud-africaine et représente le symbole national du courage et du sacrifice. En juillet 1916, la 1ère Brigade d’Infanterie sud-africaine y a accompli, , l’un des faits d’armes les plus dramatiques de la Première Guerre mondiale.

Le 15 juillet 1916, la Brigade, comprenant 121 officiers et 3 032 hommes du rang, reçut la mission de prendre et de tenir le bois "coûte que coûte". Durant cinq nuits et six jours, les Sud-Africains luttèrent contre diverses unités du 4ème Corps d’Armée allemand. Surpassés en nombre et attaqués sur trois côtés, pratiquement décimés, ils parvinrent après d’âpres combats, allant jusqu’au corps à corps, à conserver une partie du bois. À la relève, le 20 juillet, seulement 142 hommes répondirent à l’appel et sortirent tout de suite de ce qui restait du bois. Ces combats ayant été si violents, les troupes anglo-saxonnes le rebaptisèrent « Delvil wood » - le « bois du diable ».

Ravagé par les combats de 1916, il fut racheté par l’Afrique du Sud, alors dominion britannique. Le site a été réaménagé : des arbres ont été replantés et le Mémorial national sud-africain y fut érigé. Il fut décidé que le bois resterait à jamais la sépulture des soldats qui y reposaient.

Le site est dédié à tous les sud-africains tombés au cours des divers conflits du 20e siècle, en Afrique, en Europe et au Proche Orient.

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frederic.douay@laposte.net

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Chasseur Alpin un jour  , chasseur toujours !

Secrétaire Cantonal des ACPG-CATM-TOE-et VEUVES du canton de Rosières en Santerre

Membre du Bureau Départemental de la Somme

Conseiller municipal de Vrély ( 80170 )

 N’hésiter pas à me contacter sur ma boite mail laposte.net si vous avez des idées à me communiquer , des photos et des articles agissant sur le même domaine .